Entre 3 et 5h dans la nuit, les modèles sont quasi immobiles. Il suffit de prendre le temps. Depuis que j’ai commencé à décrire l’humain, je remarque à quel point notre oeil est exigeant quant au résultat. Alors que les meubles sont toujours, toujours « réussis », les gens eux sont vites déformés, méconnaissables, vieillis. La main de « Nuit 2 » est l’élément qui me plaît le plus parmi ces trois dessins.